Premières expériences et engrenages : Chapitre 43 : Strap-on

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il y a 1 an

Chapitre 43 : Strap-on

Mon instinct me commandait de lui faire confiance. Je pris le papier de gauche, qu’il m’indiquait, et le dépliai. Les maîtresses ne réagissaient pas. Elles ne devaient pas savoir.

C’était le petit !

Je soufflai après l’avoir lu. Je regardai Nathan mais ce dernier faisait semblant de m’ignorer. Il avait dû leur trouver une différence en les préparant. Ne les tirant probablement jamais, cela ne lui était jamais utile. Il voulait juste me remercier. Si je pouvais lui décrire la force du bien qu’il me fît. En fait je pouvais lui décrire la taille de ce bonheur, c’était juste là, en face de moi, attrapé par Maîtresse Diane et bientôt à l’intérieur de son corps.

Il ne dit rien en ouvrant le dernier papier, confirmant qu’il n’y avait pas de tricherie. Ladyscar était soulagé et Lady Christine, déçue, enfilait le petit gode.

  • Il reste le lubrifiant, dit-elle en s’adressant à Ben.

Ben prit un des trois papiers restants de la dernière corbeille.

  • Huile pimentée, dit-il en le montrant.

  • Alors la pâte est pour moi, dit Lady Christine, exultant, en s’emparant de la boite tandis que Maîtresse Diane opinait de la tête et crachait sur son gigantesque gode.

Elle aura besoin de plus de salive pour le recouvrir.

  • Pas de pâte avec le grand gode, c’est bien ce que tu avais demandé, dit-elle sans attendre la réponse de ma maîtresse. Sans nouvelle contestation, ou point de règlement, nous passâmes aux préparatifs. La compétition entre els maitresses, à couteaux tirés, était presque aussi pesante que ce lieu de torture.

La suspension prit un peu de temps et Nathan fut le dernier en place. Pour Ben et moi, cela avait été rapide. Le chevalet avait été baissé pour convenir à la taille de ma maîtresse temporaire. Mes chevilles étaient écartées au sol à près d’un mètre l’une de l’autre, au maximum de ce que ce système permettait. Mon corps était allongé sur le chevalet et mes poignets attachés en extension devant mon visage. Je pouvais à peine le tourner. Lady Christine déplaça encore les accroches tendant mes jambes un peu plus et permettant à mon anus de ne pas s’élever du sol plus que la ceinture qu’elle portait.

Je ne voyais plus derrière moi et quand je tournai la tête j’avais peine à voir Nathan et encore moins Ben derrière lui sur sa chaise. Pour eux, leur regard était tourné vers leur maîtresse.

Nous attendions depuis plusieurs minutes que la position de Nathan se finalise, quand je sentis le bout du gode appuyer sur mon anus.

  • Les boules de Geisha, me réveillai-je soudain.

  • Ah, j’ai failli oublier, dit lady Christine, sans aucune véracité dans sa voix, devant le cordon et son petit anneau qui sortait de mon cul.

Elle attrapa la corde et les ressortit toutes d’un seul trait, dans un mouvement ample, rapide et brutal. J’émis un cri plus féminin que je ne le désirai.

  • Chochotte, la petite, commenta ma maîtresse du moment.

Un cri presque identique s’entendit de l’autre côté. Ladyscar était entré en Ben. Je repensais aux tailles respectives des godemichets et me retiendrais de crier lorsque le gode rentrera en moi, par compassion.

D’abord de quelques centimètres, peut-être moins, puis une seconde fois plus loin, une troisième fois encore plus profonde. Je pleurais en ressentant cet objet entrer et sortir de moi, attaché, immobilisé, humilié. La quatrième fois, je crus que c’était terminé car je sentis le bout pousser au fond de moi, mais cela ne demandait qu’à s’ouvrir encore plus. Elle progressait encore. Seules les tailles des autres godemichets me permirent de tenir.

J’étais si bien étiré et attaché que je ne pouvais réaliser que quelques trémoussements des fesses d’aucune utilité. C’est alors que la chaleur de la pâte remplaça peu à peu la douleur de l’étirement. Alors que je m’habituais à sentir ce morceau de plastique dans une voie que le plug et les boules avaient déjà ouverte, l’irritation se prolongeait même lorsque le gode en ressortait.

C’est à ce moment-là que Lady Christine s’arrêta, à l’extérieur de moi. Je me trémoussai, gêné par la brulure que je voulais faire partir.

  • Cela fait mal ? Ça brule, non ? me demanda Christine penchée sur moi.

  • Oui, maîtresse.

  • Cela va être de pire en pire. Cette pâte est une vraie sadique. Dans le dentifrice, il y a des petits minéraux, à peine moins dur que l’émail des dents, qui rabotent tout ce qu’ils frottent, créant de mini sillons dans ton conduit, à chacun de mes passages. Alors sur ces zones, irritées comme par du papier de verre et qui recouvriront bientôt l’ensemble de ton trouduc, vont s’insinuer le piment et le gingembre, brulant localement chaque petite zone de ta peau. Tu sais qu’elle est encore plus sensible là qu’à l’extérieur, sur ta bite ou sur tes couilles, comme cela avait été son emploi primaire.

Je ressentais microscopiquement les détails qu’elle m’expliquait, comme si j’avais devant les yeux les réactions physique et chimique au travers d’un microscope électronique.

  • Le pire, ajouta-t-elle, c’est que tant que tu ne t’es pas nettoyé et avec un bon lavement, cela continuera à empirer, même si je ne fais rien comme maintenant.

  • C’est pour cela que vous avez arrêté de me pénétrer ? cherchai-je à me montrer plus fort que je ne l’étais, en animant la conversation.

  • Non. C’était pour remettre un peu plus de pâte, maintenant que ton anus s’est agrandi, répondit-elle sadiquement avant de l’enfoncer humide à nouveau dans mon cul.

Le frottement répétitif entrainait exactement ce qu’elle prévoyait. Elle me travailla une dizaine de minutes avant de s’arrêter à nouveau. J’avais le cul en feu. Elle poursuivit encore quelques minutes.

  • Demande-moi de remettre de la pâte ! m’ordonna-t-elle en m’écrasant les couilles.

Je voulais résister, mais je savais qu’elle n’attendait que cela. Alors j’ai pris ma voix la plus assuré et parlai suffisamment fort pour être entendu de tous malgré les bruits et les gémissements.

  • Remettez-moi de la pâte, maîtresse. Je mérite de souffrir plus.

  • C’est bien parce que tu insistes, soumis.

Quand le gode entre pour la troisième fois, je sentis la tonne de pâte dont elle l’avait recouvert. Le pot devait en être vide. Je sentais non seulement que cela brulait à l’intérieur de moi, mais aussi le supplément de pâte qui se déplaçait au rythme du godemichet, entre mes fesses et me mettait mal à l’aise.

J’avais l’impression de devoir chier, d’avoir la courante, du liquide prêt à sortir. Mais dans la position inconfortable et honteuse, mon corps me trahit et prit une décision sur laquelle je n’eus de prise et de laquelle, dans d’autres circonstances, je l’aurai remercié. Refusant de se vider ainsi sans la bonne position assise qu’il reconnaissait comme la seule, il décida crânement de contracter les muscles fessiers.

L’effet fut immédiat, c’est comme si le gode avait changé de taille. J’en ressentais chaque centimètre carré, frottant là où il n’avait qu’effleuré, et arrachant là où il avait déjà opéré. Je luttais, lui intimais de se relâcher, essayais même de pousser pour me débarrasser de ce surplus sans succès.

Lady Christine le ressentit et accéléra la vitesse et la profondeur, agitant encore un peu plus la pâte en excès et irritant le reste de ma peau intérieure.

  • Brule mon petit trouduc, crame-toi le cul, chantait-elle en prenant de plus en plus de rythme. Il reste un peu de pâte, ce serait dommage de la gâcher.

Alors que je m’attendais à ce qu’elle arrête à nouveau pour en enduire son gode, je sentis sa main m’attraper les couilles et me les masser doucement puis plus fortement.

C’est quand je ressentis les premières chaleurs que je sus ce qu’elle faisait du reste de la pâte.

N’étant pas maso à ce point… je me demande si ce traitement « calme » les envies de certains masochistes ^^
Le prochain chapitre est sur https://fessestivites.com/recit/197405
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